Jean de la Fontaine – La Cigale et la Fourmi – for jazz musician Carles GR – Paris, France
La Cigale et la Fourmi | The Cicada and the Ant | |||||
La cigale ayant chanté Tout l’été, Se trouva fort dépourvue Quand la bise fut venue: Pas un seul petit morceau De mouche ou de vermisseau. Elle alla crier famine Chez la fourmi sa voisine, La priant de lui prêter Quelque grain pour subsister Jusqu’à la saison nouvelle. “Je vous paierai,” lui dit-elle, “Avant l’août, foi d’animal, Intérêt et principal.” La fourmi n’est pas prêteuse: C’est là son moindre défaut. “Que faisiez-vous au temps chaud?” Dit-elle à cette emprunteuse. “Nuit et jour à tout venant Je chantais, ne vous déplaise. “Vous chantiez? J’en suis fort aise: Eh bien! Dansez maintenant.” | The cicada having Sung all summer through Found herself lacking As the cool autumn wind blew. Her cupboard was scant Of earthworm and fly. To her neighbor the ant “famine” she did cry. She begged her to lend her A few seeds to survive Until the new summer Just to keep her alive. I will pay you, she said With animal faith and before God Plus interest in bread. The odds seeming odd. But the ant’s no lender. It’s her one bad trait. “What did you during the summer?” She inquired of her mate. “I sang all summer through, Day and night,” she said prancing. “I’m so pleased,” said the ant. “Why not now try dancing?” |
Proust Questionnaire for Salsa band Latino Pulse – Lafayette, Louisiana
Notre « Questionnaire de Proust » – Edito de l’été | Proust Questionnaire – Summer Edition |
6 mois seulement ont passé depuis le premier concert de Latino Pulse, c’était le 19 février 2018 au JSP. C’est l’occasion pour nous de vous remercier…tout d’abord de venir nous écouter toujours plus nombreux à chaque concert, nous soutenir, nous partager votre enthousiasme sur la piste de danse et après les concerts et nous permettre de vous faire découvrir ou redécouvrir la musique qui nous est si chère, la salsa. C’est aussi l’opportunité pour nous aujourd’hui, de vous présenter chaque semaine un membre du groupe au travers de son Questionnaire de Proust*: les 10 questions sélectionnées par nos soins vous permettront de mieux connaitre ses goûts et ses aspirations. On vous souhaite un bel été et profitez! *Qu’est-ce que le Questionnaire de Proust? C’est un questionnaire de personnalité datant du 19e siècle qui emprunte son nom à écrivain français Marcel Proust qui l’a rendu célèbre. | It’s only been six months since the first Latino Pulse concert, held February 19, 2018 at JSP. So on this occasion, we thank you … first, for coming to hear us play and for your increase in attendance with each show, for supporting us, for sharing your enthusiasm with us on the dance floor and after the concerts and for allowing us to introduce or re-introduce to you the music we hold so dear, salsa. We would also like to take this opportunity to present to you each week one of our band members via the Proust Questionnaire*: 10 carefully selected questions will allow you to get to know his/her tastes and aspirations. We wish you a great summer and lots of fun! *What is a Proust Questionnaire, you ask? It’s a personality questionnaire dating back to the 19th century, which borrows the name of the great French writer Marcel Proust and which also made him famous. |
Intro for Salsa band Latino Pulse – Lafayette, LA
Latino Pulse c’est l’histoire de rencontres, autant improbables qu’heureuses, de passionnés de musique qui se sont retrouvés en pays Cajun à Lafayette, en Louisiane. L’aventure a débuté en septembre 2017 lorsque Thanh-Mai a réuni des musiciens venus d’horizons divers et improvisé une Latin jam sur la terrasse du restaurant cubain Pepin’s. Pour la première fois à Lafayette, ont résonné des notes de montunos. Le bouche à oreille a fait le reste et les premières sollicitations sont arrivées. La formation qui comptait alors 6 musiciens s’est agrandie puisqu’en janvier 2018, une section cuivre est venue enrichir le son du groupe réuni autour de la salsa, musique festive par excellence. Sous la direction musicale de Guillermo Rojas, Latino Pulse est le premier groupe de salsa à Lafayette. Son projet musical s’articule autour de deux axes: faire découvrir et vivre l’héritage des grands noms de la salsa dura et développer en parallèle un répertoire de créations originales composées par Jimmy Louis- Marie et Guillermo Rojas. Celles-ci font échos à la salsa traditionnelle en y intégrant de multiples influences contemporaines: jazz, rythmes antillais, reggae, electro, rap… Latino Pulse s’est produit lors de festivals et scènes louisianaises. A son image, à la fois local et international, l’esprit du groupe Latino Pulse est avant tout festif, dans le partage, la générosité et la joie de vivre. Sur scène, les 13 musiciens et chanteurs de l’orchestre mettent tout leur énergie et leur coeur à vous faire vibrer et vous entraîner dans des danses endiablées. Comme on a l’habitude de dire, la salsa c’est un savant mélange de saveurs et de piquant (flavor and spices)! | Latino Pulse is a story of encounters, just as unlikely as fortunate, of passionate music lovers who crossed multiple borders to find each other in the heart of Cajun Country. The story began in 2017 when Thanh-Mai united these global musicians for a sort of freestyle Latin jam session on the terrace of the Cuban restaurant Pepin’s. For the first time in Lafayette, sounds of montunos filled the air. Word of mouth followed, and the requests started pouring in. The group, which initially included six musicians, grew in 2018 when the addition of a brass section only enriched their salsa sound, a style of music like no other. Under the musical direction of Guillermo Rojas, Latino Pulse is the first salsa group in Lafayette. Their musical style centers on two premises: discovering and celebrating the heritage of big names in salsa dura and developing a repertory of original works composed by Jimmy Louis-Marie and Guillermo Rojas, which echo traditional salsa while integrating multiple contemporary influences including jazz, Antillean beats, reggae, electronica and rap, among others. Latino Pulse emerged through Louisiana’s festivals and lively music scene. The image and spirit of Latino Pulse, at the same time local and international, is above all celebratory, in its generosity, soul and joie de vivre. On stage, the group’s 13 musicians and singers devote all their energy and passion to captivate and move you with their exhilarating sounds. As they say, salsa is the perfect mix of flavors and spice! |
Review by Jérôme Partage of Guido Basso and Dave Turner’s Dedications – Paris, France
Guido Basso / Dave Turner Dedications | Guido Basso / Dave Turner Dedications |
On connaît peu les deux jazzmen Guido Basso et Dave Turner qui ont l’habitude de se produire ensemble en quintet dans les clubs de Montréal. Actifs depuis plusieurs décennies, ils n’ont gravé qu’une poignée de disques. Et s’ils ont obtenu depuis longtemps la reconnaissance de leurs concitoyens, l’information n’a pas franchi l’Atlantique. Donc, pour ceux (fort nombreux) qui n’ont pas eu la chance de les entendre en marge du Festival International de Jazz de Montréal, l’été dernier, nous vous proposons cette session de rattrapage à vous mettre absolument entre les deux oreilles. Dedication est, comme son nom l’indique, une oeuvre dédicacée à quelques grands jazzmen, menée par deux boppers au lyrisme enivrant et joliment soutenus par leur rythmique. Ce concept, souvent intéressant, car il indique comment un artiste est perçu par un autre, a été concocté par deux compositeurs inspirés, Richard Kamel et Steve Rosenbloom, auteurs de la quasitotalité des morceaux. La série de dédicace s’ouvre avec « Hip Snake Dance » un titre swing enthousiasmant qui évoque Art Blakey. Dès les premières mesures, nous voilà happés par les pavillons endiablés de la trompette et du saxophone tandis que le powellien Eric Harding se place en modérateur dans ce dialogue très animé. Le second morceau, « Samba Em Preludio » est une magnifique ballade latine signée Baden Powell et Vinicius de Moraes. Avec la même aisance, Turner et Basso passent sur tempo lent, suscitant une poignante mélancolie. Alors que ke premier affiche une désinvolture quelque peu getzienne et fort à propos, le second s’approches des accents lunaires propres à Miles. Autre belle ballade, « The Elegance of Duke » tire son haut-de-forme à Ellington sur une composition bâtie dans l’esprit de « Mood Indigo ». Et c’est sur une autre, celle-là cousine de « Misty », « Eye of the Mist », qu’un hommage est rendu à Horace Silver. Bud Powell est également invoqué, mais sur un rythme plus syncopé sur « In a Boppish Sort of Way », où la convivialité communicative des musiciens est toujours présente, de même que sur « Cannon Folder », un hymne à Adderley, alors que sur « Nowhere to Go », dédié à Charlie Haden, Turner est d’une suavité à tomber par terre et Basso bouleversant à l’harmonica. Autre jolie ballade à retenir, dans un esprit aussi très garnérien, « Sweet Lady Day », sur laquelle l’altiste et le trompettiste distillent une émotion fragile qui évoque celle que faisait éclore la généreuse Billie. Voilà un véritable travail d’orfèvre, jamais précieu, toujours spontané et qui se pose comme une belle peinture impressioniste décrivant de multiples portraits attachants. Un vrai disque d’amoureux du jazz. | Little is known about the two jazz musicians Guido Basso and Dave Turner, who usually perform together in a quintet in the clubs of Montreal. Working for several decades, they have only recorded a handful of albums. And if, for a long time, they received the recognition of their fellow countrymen, the news did not traverse the Atlantic. So, for those (quite a few) who did not have the chance to hear them last summer at the Montreal International Jazz Festival, we offer you this catch-up session to bring you up to speed. Dedication is, as its name indicates, a work dedicated to several great jazz musicians, led by two boppers of lyricism intoxicatingly and pleasantly supported by their rhythm section. This concept, often interesting because it shows how one artist is perceived by another, was concocted by two inspired composers, and the writers of almost every piece, Richard Kamel and Steve Rosenbloom. The dedication series opens with ”Hip Snake Dance,” an exciting swing title evoking Art Blakey. From the first measure, we are seized by the furious bells of the trumpet and saxophone while the Powell-esque Eric Harding stands in as moderator in this very animated dialogue. The second piece, “Samba Em Preludio” is a magnificent Latin ballad by Baden Powell and Vinicius de Moraes. With the same ease, Turner and Basso slow it down, arousing a poignant melancholy. While the former presents an offhand manner somewhat Getz-esque and entirely relevant, the latter borders on ethereal overtones particular to Miles. Another beautiful ballad, “The Elegance of Duke” lifts its top hat to Ellington with a composition created in the spirit of “Mood Indigo.” And on another, “Eye of the Mist,” a cousin of “Misty,” homage is paid to Horace Silver. Bud Powell is equally invoked, but on a more syncopated rhythm in “In a Boppish Sort of Way,” where the infectious conviviality of the musicians is always present, just as on “Cannon Folder,” a hymn to Adderley. Meanwhile on “Nowhere to Go,” dedicated to Charlie Haden, Turner releases a swooning smoothness, and Basso is soul-stirring on the harmonica. Another lovely ballad to keep in mind, in a mood quite Garneresque is “Sweet Lady Day,” in which the violist and the trumpeter distill a fragile emotion, conjuring up a sound to which the generous Billie gave rise. Here is a veritable goldsmith’s work, ever precious, always spontaneous, which surfaces as a beautiful impressionist painting revealing multiple heartfelt images. A true jazz lover’s album. |
Jérôme Partage | Jérôme Partage |
Bio for Raphaël Monnanteuil’s XL Ant fashion brand – New York, NY
XL Ant : la mode comme vous ne l’avez jamais vécue.
« Rien n’est impossible ! ». Cette philosophie rythme la vie de Raphaël Monnanteuil tel un leitmotiv. Passionné de mode, globe trotter invétéré, ancien copilote de rallye… Celui qui fut aussi le chanteur et manager du groupe de métal Bloodlust est un touche à tout plein de talent. Rien d’étonnant à ce que la mode n’ait pas échappé à son insatiable soif de création.
Raphaël a 32 ans lorsqu’il crée la marque XL Ant. Nous sommes fin 2003 et le jeune créateur officialise alors un concept qui lui tenait à coeur depuis déjà longtemps. Retour sur une histoire d’amour avec la mode…
1er rendez vous…
Déjà au lycée, Raphaël n’était jamais à court d’idées. Pour faire la promotion de son groupe de métal, il crée des T-shirts et des produits dérivés. C’est grâce à cette expérience que Raphaël entrevoit pour la première fois l’idée de mettre sa créativité au service d’une marque de vêtements. Mais la vie continue, et de voyages en concerts (il est à l’époque tour manager), Raphaël range ses rêves de mode dans un coin de sa tête sans les oublier pour autant…
Les retrouvailles…
Quelques années plus tard, Raphaël effectue un road trip aux Etats-Unis. Au gré de ses déplacements, il va faire une rencontre déterminante, non pas avec une personne mais avec un mot, prononcé par hasard dans une conversation en anglais. «Excellent !» lui dit son interlocuteur…Raphaël ne sait pas encore que l’image qui se forme à cet instant dans sa tête va être l’élément déclencheur d’une belle histoire… L’adjectif qu’il vient d’entendre se retranscrit dans son esprit, sous forme de flash, en « XL Ant » – Fourmi Extra Large. Le jeu de mots trouve écho en lui … Comment exploiter, cette expression pleine de créativité ? Il griffonne un logo et l’idée de créer sa propre marque de vêtements refait surface.
La naissance d’XL Ant…
Raphaël se lance dans son projet avec l’énergie qui le caractérise. Au printemps 2003, il dessine 4 modèles de T-shirts et les produit en 50 exemplaires chacun. Cette première collection servira de test à son concept. Et quel test ! Les 200 pièces s’écoulent en l’espace de 3 semaines. Pour le jeune créateur, l’essai est transformé.
Automne 2003. Raphaël ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et crée 4 nouveaux modèles. Il décide aussi de conceptualiser un maximum sa future marque en la faisant évoluer dans un univers connoté « XL Ant ». C’est ainsi que les nouveaux modèles sont présentés lors de la première XL Ant Night, une soirée emblème de la philosophie de la marque. Pari gagné ! Au lieu de la centaine d’invités attendus, ce sont près de 300 personnes qui se massent à la XL Ant Night pour découvrir la marque de Raphaël.
Surpris mais ravi, Raphaël profite de cette soirée pour nouer des liens avec des personnalités de la mode Lilloise… C’est la rencontre avec « L’étoile Rouge ». La boutique lui commande 40 pièces pour test et… les écoule en 10 jours ! Le moment est venu d’officialiser la marque : XL Ant est née ! Nous sommes le 15 décembre 2003 et pour Raphaël, l’aventure ne fait que commencer.
Première collection
XL Ant est à peine créée qu’il faut déjà penser à la prochaine collection. Et pour l’été 2004, n’importe quel pro de la mode dirait que c’est trop tard… Pas Raphaël ! Ne voulant pas laisser retomber la belle énergie qui entoure les débuts de sa marque, il tente le tout pour le tout et fait fabriquer 8 modèles de T-shirts différents, sans déclinaison de couleur, soit 2000 pièces. Il travaille d’arrache pied et parvient à localiser, à travers toute la France, les boutiques dont l’image correspond à celle d’XL Ant. Cinq semaines et un tour de France de la mode plus tard, Raphaël a non seulement écoulé la totalité de sa collection mais s’est aussi forgé un réseau de distribution dans une trentaine de villes françaises.
A marque d’exception, communication d’exception…
Raphaël est conscient de l’importance desmédias pour faire connaître sa marque au plus grand nombre. Cependant, pas question de faire dans le classique… En mode comme en communication, Raphaël a compris qu’il était bon de sortir des sentiers battus ! C’est pourquoi il met en place, dès 2004, une stratégie de communication visuelle inédite.
Avec pour seules armes son culot et la confiance qu’il a en sa marque, il sollicite des personnalités – notamment du monde de la musique – pour qu’elles portent du XL Ant. Observez les stars tels que Muse, Placebo, Superbus, Kyo ou Christophe Deschamps (batteur de Pascal Obispo entre autre), regardez de plus près vos animateurs TV fétiches comme Stéphane Guillon, Ariel Wizman ou Magloire, attendez les apparitions des footballeurs Sébastien Chabbert ou Daniel Moreira… Et guettez la fourmi ! Car tous ces people arborent désormais les T-shirts XL Ant !
2005 : le tour du monde de la fourmi…
Sa stratégie de communication inédite ayant porté ses fruits, Raphaël dispose désormais d’une base solide pour faire vivre XL Ant. En septembre 2004, il se permet de jouer les trublions lors du Who’s Next de Paris… Ce n’est pas dans le salon que XL Ant fera son show mais… dans un taxi londonien transformé en show room de la collection 2005 et rhabillé aux couleurs de la marque ! Subtilité, originalité… Ce moyen de prospection à la hauteur des valeurs de la marque séduit et XL Ant trouve de nouveaux partenaires : boutiques qui référencent la marque, médias qui s’intéressent de plus près aux tribulations de la fourmi mais aussi piliers du secteur de la mode…
Ainsi, XL Ant participe, en février 2005, à un événement « créateurs » au sein de tous les grands magasins Printemps. Les articles se multiplient et M6 consacre même un reportage à la fourmi. C’est au même moment que la Chambre de Commerce de Lille contacte le jeune créateur. Leur proposition ? Faire participer XL Ant à l’exposition universelle d’Aïchi au Japon. Raphaël relève le défi et s’envole pour le pays du soleil levant. Là bas, il se fait connaître de la presse nationale et va jusqu’à faire porter du XL Ant aux hôtesses de l’espace français de l’exposition.
Depuis Raphaël a effectué plusieurs visites au Japon, s’y créant peu à peu un réseau. Lors du grand prix moto de Motegi, il a notamment rencontré Valentino Rossi, septuple champion du monde, qui pour l’occasion s’habille en XL ANT…
2006 : Pour la fourmi, le temps de la conceptualisation est venu !
XL Ant, c’est bien plus qu’un T-shirt… C’est un état d’esprit ! Au fil des mois écoulés depuis la création de la marque, Raphaël a remarqué que les fans qui portaient ses modèles se retrouvaient dans une même philosophie… Une culture empreinte de valeurs fortes telles que la capacité à se lancer des défis, la volonté d’atteindre ses objectifs, la faculté à prendre la vie du bon côté, à profiter de l’instant présent sans perdre de vue ses rêves. Il faut dire que Raphaël a mis beaucoup de son tempérament dans ses collections et les amateurs de la fourmi se retrouvent pleinement dans le parcours atypique du jeune créateur…
Pour répondre à leurs attentes, XL Ant devient aujourd’hui plus qu’une simple marque à la mode. Elle se fait le fer de lance d’une attitude, d’un art de vivre. L’expression du « XL Ant’s Way of Life» prend sa source dans la genèse de la marque, née de la passion de son créateur. Il s’exprime au travers de messages forts, de visuels impactants et d’une communication non-conformiste. L’objectif de XL Ant aujourd’hui ? Formaliser la fédération et l’adhésion qui existe autour de la marque. Pour cela, Raphaël réserve bien des surprises… Un exemple ? La création d’une XL Ant Street-Team qui se basent sur une idée simple : si vous partagez les valeurs de la fourmi, vous en serez forcément le meilleur ambassadeur ! D’autres projets sont prévus et tous ont en commun un savant cocktail d’originalité et de passion, le carburant d’XL Ant !
XL Ant: Fashion Like You’ve Never Experienced
‘Anything is possible!’ This philosophy echoes the life of Raphaël Monnanteuil like a leitmotif. Passionate about fashion, a compulsive globetrotter and ex rally copilot … This singer and manager of the metal band Bloodlust is a medley of talents. So then it’s not surprising that fashion was unable to escape his insatiable creative thirst.
Raphaël is 32 when he forms the brand XL Ant. 2003 is coming to a close, and the young designer has created a concept held close to his heart for some time. The return to a love affair with fashion…
1st Encounter…
Already in high school, Raphaël is never short of ideas. To promote his metal band, he creates t-shirts and related products. It’s thanks to this experience that Raphaël foresees for the first time the idea of linking his creative ideas to a fashion line. But life goes on, and while touring (at the time, he was a tour manager), Raphaël files his fashion dreams, while not forgetting them, at the back of his mind …
The Reunion…
Several years later, Raphaël takes a road trip in the U.S. Because of this journey, he will make a crucial encounter, not with a person, but rather with one word coincidentally uttered by someone in a conversation in English. ‘Excellent!’ Raphaël does not yet know that the image formed at that moment in his mind will become the crucial element of a beautiful story … The adjective that he has just heard repeats itself in his brain, like a flash, into ‘XL Ant’ – Extra Large Ant. The word game echoes within … What to do with this ingenious expression? He scribbles down a logo, and the idea to create his own clothing line resurfaces.
The birth of XL Ant…
Raphaël launches the project with his characteristic ardent drive. In the spring of 2003, he creates 4 t-shirt designs and produces 50 samples of each. This first collection will serve as a test of his ideas. And what a test! The 200 pieces fly off the shelves within 3 weeks. For the young designer, the game is on.
Fall 2003. Raphaël isn’t about to slow down the pace now, and creates 4 new designs. He also decides to super-conceptualize his future brand by evolving it into a universe called ‘XL Ant’. The new designs are presented during the first XL Ant Night, an evening symbolizing the brand’s philosophy. Success! Instead of the expectant 100 invitees, nearly 300 people flock to XL Ant Night to discover Raphaël’s line.
Stunned but ecstatic, Raphaël benefits from the evening by hooking up with fashion icons from Lille … The kicker? The meeting with ‘L’étoile Rouge.’ The boutique orders 40 pieces to start and … they sell out in 10 days! The moment has come to launch his brand: XL Ant is born! It’s December 15, and for Raphaël the adventure has only just begun.
First Collection
XL Ant is barely created when it’s already time to come up with a new collection. And any fashion pro will tell you that it’s already too late for the summer of 2004 …Not Raphaël! Not wanting the divine energy surrounding his first line to fall flat, he risks everything to create 8 different t-shirt designs, one color per design, for a total of 2000 pieces. He works nonstop and succeeds in locating boutiques all around France whose image corresponds to that of XL Ant. Five weeks and a France fashion tour later, Raphaël not only sells out of his entire collection but also creates a distribution network within 30-some-odd French cities.
An Outstanding Brand, An Outstanding Message…
Raphaël is aware of the importance of the media’s role in mass-promoting his brand. However, for him, it’s simply out of the question to do it in the traditional way … In fashion, as in marketing, Raphaël understands that it is important to step off the beaten track! Hence, in 2004, he creates an innovative visual communications strategy.
Armed simply with nerve and the confidence of his brand, he calls upon the stars – notably those in the music biz – to sport his XL Ant line. Check out such big European names as Muse, Placebo, Superbus, Kyo or Christophe Deschamps (drummer for Pascal Obispo among others); take a closer look at French TV idols Stéphane Guillon, Ariel Wizman or Magloire; await the arrival of soccer stars Sébastien Chabbert or Daniel Moreira … And watch out for the ant! Because each and every one of these icons is donning an XL Ant t-shirt!
2005: The Ant World Tour…
His almost unheard-of marketing strategy flourishes, and Raphaël lays the groundwork to launch the XL Ant line. In September 2004, he plays the part of bad boy among the Who’s Next of Paris … It’s not in the shop that XL Ant will make its mark … but in a London taxi transformed into a showroom for the 2005 collection …and revamped with the brand’s colors! Subtlety, originality … This balance of innovative canvassing along with the brand’s high esteem prove a seductive combination, and XL Ant discovers new partners: boutiques to promote the line, media interested in the ant’s tribulations, and not to mention the backbone of the fashion scene…
Thus, in February 2005, XL Ant participates in a ‘designer’ event at the helm of all Printemps department stores. The media articles multiply, and M6 (French television station) even dedicates an entire broadcast to the ant. At the same time, the Lille Chamber of Commerce contacts the young designer. Their proposal? To have XL Ant participate in Expo 2005 Aichi, Japan. Raphaël accepts the challenge and sets sail for the country of the rising sun. There, he makes himself known to the national press and provides XL Ant-wear to the hostesses of the French section of the exposition.
Since then, Raphaël has made several visits to Japan, little by little creating a network for himself. During the Motegi Motorcycle Grand, he, in particular, meets Valentino Rossi, seven-time world champion, who, for the occasion, dresses in XL ANT …
2006: For the Ant, the Time of Conceptualization Has Arrived!
XL Ant, it’s more than a t-shirt … It’s a state of mind! A few months after the brand’s debut, Raphaël noticed that the fans wearing his designs shared the same philosophy … A culture marked by strong values such as the ability and strength to take risks, to obtain one’s goals, to remain optimistic, and to live in the present without losing sight of one’s dreams. It can be said that Raphaël infused a large part of his personality into his collections, and the ant lovers are finding themselves smack dab on the atypical journey of the young designer …
To respond to their needs, XL Ant today is becoming more than just a trendy brand. It is the spearhead of an attitude, a way of living. The expression “XL Ant’s Way of Life” finds its source in the birth of the brand, born from the passion of its designer. It expresses itself through strong ideas, with shocking images and a nonconformist message. The goal of XL Ant today? To develop a federation and an alliance, existing well beyond the brand. For this, Raphaël is setting aside certain surprises … An example? The creation of an XL Ant Street-Team based on one simple idea: if you share the ant’s values, you will inevitably be its best ambassador! Other projects are in the works, and they all share a savvy cocktail of originality and passion, the fuel of XL Ant!
Health information on alcoholic beverages – Seattle, WA
Limiter les Calories en Limitant l’Alcool
Les boissons alcooliques apportent des calories mais peu de éléments nutritifs
Il est important que vous sachiez combien il y a de calories dans les boissons alcoolisées afin de vous aider à atteindre votre objectif calorique quotidien
En limitant le nombre de boissons alcoolisées que vous consommez tous les jours, vous aurez plus de succès dans l’atteinte de votre objectif calorique
Combien de calories y-a-t’il dans une boisson alcoolisée?
Les quantités d’alcool suivantes sont communément comptées comme une boisson:
700 350 ml de bière normale (150 calories) 300 150 ml de vin (100 calories)
90 40 ml de spiritueux à 80 (% alcool) (100 calories)
Note: Même des quantités modérées d’alcool apportent des calories supplémentaires.
Notions de base
L’alcool apporte 7 calories par gramme. En conséquence, vous pourrez avoir à ajouter plusieurs centaines de calories à votre consommation quotidienne si vous buvez quelques bières ou verres de vin tous les jours.
Soyez attentif(ve) à la taille de vos portions d’alcool et si vous buvez de l’alcool, essayez de limiter ce que vous buvez à pas plus d’une boisson par jour pour une femme et deux boissons pour un homme.
Adapté de: Dietary Guidelines for Americans, 2000. USDA/USDHHS, 2000.
Minimizing calories by limiting alcohol
Alcoholic beverages hold calories but few nutrients.
It is important to know how many calories are found in alcoholic beverages to help you obtain your ideal amount of daily calories.
By limiting the number of alcoholic beverages that you drink each day, you have better success at controlling your rate of calories allowed.
How many calories does an alcoholic beverage contain?
The following amounts are counted as onedrink:
12 oz. of draught beer (150 calories)
6 oz. of wine (100 calories)
1.5 oz. of hard liquor at 80° (100 calories)
Note: Even a small amount of alcohol contains additional calories.
Summary
Alcohol contains 7 calories per gram. Hence, you add several hundred calories to your daily allowance if you drink several beers or a few glasses of wine each day.
Watch the amount of alcohol you take in; if you drink alcohol, try to limit your consumption to one glass a day for women and two glasses a day for men.
Adapted from: Dietary Guidelines for Americans, 2000. USDA/USDHHS, 2000.
Chef bio for Angelo Sosa of Yumcha – New York, NY
Qui est Angelo Sosa ?
Né dans le Connecticut, de père dominicain et de mère italienne, Angelo Sosa a su mettre à profit ses origines et son parcours ouvert sur le monde, sa curiosité et sa passion pour le mélange des cultures. Avant de devenir chef du restaurant newyorkais Yumcha, Angelo a fait ses classes chez un des plus grands chefs : Jean-Georges Vongerichten. Il a d’abord travaillé au « Jean Georges » puis au « Spice Market ». Pour parfaire ses connaissances de la cuisine asiatique, Angelo a passé deux mois à Hong Kong. Il aime réinterpréter les plats traditionnels de la cuisine chinoise. Selon Alain Ducasse, «la cuisine d’Angelo Sosa raconte une histoire, son histoire, dans une cuisine nouvelle, libérée, insolente, à peine provocante : celle que nous aimons aujourd’hui ».
Who is Angelo Sosa?
Born in Connecticut, to a Dominican father and Italian mother, Angelo Sosa knew how to make the most of his origins and open window to the world, not to mention his fervent curiosity and passion for combining cultures. Before becoming Executive Chef at New York’s ‘Yumcha’, Angelo trained under the guidance of one of THE most prominent chefs: Jean-Georges Vongerichten, continuing on to work in the kitchens of Vongerichten’s “Jean-Georges” and “Spice Market.” To build on his knowledge of Asian cuisine, Angelo spent two months in Hong Kong, which further increased his love of redefining traditional Chinese dishes. According to Alain Ducasse, “The cuisine of Angelo Sosa tells a story, his story, in a new style, uninhibited, bold, hinting on provocative: that which inspires us today.”